L’altérité se découvre dans la couverture forestière du Khanat de Paracelse. Nul territoire ne saurait témoigner d’une telle diversité de créatures enchanteresses célébrant la singularité. Centaures, fées, dryades, lycanthropes et autres chimères dessinent une fresque haute en couleur dans un vaste refuge naturel à cheval entre le désert, la plaine et l’océan. Une harmonie sensible semble réunir ces tribus et clans nomades que l’apparence différencie en tout point.
Pourtant, au-delà de cette image d’Épinal esquissant un paradis, les raids étrangers vont bon train pour capturer ces créatures merveilleuses suscitant la convoitise de collectionneurs malveillants. Si bien qu’à présent, le Khanat s’affranchirait de leur hospitalité passée à la faveur d’embuscades mortelles envers les curieux qui poseraient le pied sur leur territoire.
Pourtant, les habitants de Paracelse se tiennent bien loin des préoccupations politiques, plus réceptifs aux rêveries qu’amènent leurs musiciens, leurs poètes et leurs danseurs inspirés par le murmure de la nature florissante les bordant. La légende laisse entendre que les particularités des individus du Khanat viennent de leur communion profonde avec la forêt.
Un environnement sacré où se reposerait la déesse du Vent. Prêter l’oreille à ses berceuses silencieuses ouvrirait l’imagination à des visions mystiques qu’étudient les chamans de Paracelse. Parmi les puissances extérieures, nombre de personnalités s’intéressent de près à ces dons de prophétie, tels qu’ils le soupçonnent. Nul culte sur le continent ne saurait être si proche de la déesse du Vent que celui de Paracelse, même si la voie de la Terre y trouve également un écho profond.
En outre, l’aspiration à l’évasion domine la volonté des habitants de la forêt. Après tout, la rationalité blesse plus qu’elle ne soigne. Et si ces créatures marginales souvent confondues avec les monstres de Rathna connaissent bien la douleur qui nait de la cruauté, la plupart trouvèrent leur remède dans l’attention portée en ce qui ne se voit pas, ne s’entend pas et ne se sent pas. Quelques uns prétendent que la réalité de ce monde se tient dans l’immatériel, le reste embrouillant les sens d’illusions qui détournent l’âme de sa vocation première.
Si l’altérité fit de toi une existence persécutée, tu trouveras dans Paracelse ton meilleur refuge. Au lieu d’éroder ton esprit dans l’artificialité de l’existence, concentres toi plutôt sur les murmures ineffables de ce subconscient t’invitant à apprécier la vraie forme de ton essence. À Paracelse, il faudra peu de temps avant que tu ne cèdes à ces rêveries qui t’élèvent avec bienveillance tandis que tes expériences ne furent toujours que te rabaisser dans un monde qui te refusa une place.
Pourtant, au-delà de cette image d’Épinal esquissant un paradis, les raids étrangers vont bon train pour capturer ces créatures merveilleuses suscitant la convoitise de collectionneurs malveillants. Si bien qu’à présent, le Khanat s’affranchirait de leur hospitalité passée à la faveur d’embuscades mortelles envers les curieux qui poseraient le pied sur leur territoire.
Pourtant, les habitants de Paracelse se tiennent bien loin des préoccupations politiques, plus réceptifs aux rêveries qu’amènent leurs musiciens, leurs poètes et leurs danseurs inspirés par le murmure de la nature florissante les bordant. La légende laisse entendre que les particularités des individus du Khanat viennent de leur communion profonde avec la forêt.
Un environnement sacré où se reposerait la déesse du Vent. Prêter l’oreille à ses berceuses silencieuses ouvrirait l’imagination à des visions mystiques qu’étudient les chamans de Paracelse. Parmi les puissances extérieures, nombre de personnalités s’intéressent de près à ces dons de prophétie, tels qu’ils le soupçonnent. Nul culte sur le continent ne saurait être si proche de la déesse du Vent que celui de Paracelse, même si la voie de la Terre y trouve également un écho profond.
En outre, l’aspiration à l’évasion domine la volonté des habitants de la forêt. Après tout, la rationalité blesse plus qu’elle ne soigne. Et si ces créatures marginales souvent confondues avec les monstres de Rathna connaissent bien la douleur qui nait de la cruauté, la plupart trouvèrent leur remède dans l’attention portée en ce qui ne se voit pas, ne s’entend pas et ne se sent pas. Quelques uns prétendent que la réalité de ce monde se tient dans l’immatériel, le reste embrouillant les sens d’illusions qui détournent l’âme de sa vocation première.
Si l’altérité fit de toi une existence persécutée, tu trouveras dans Paracelse ton meilleur refuge. Au lieu d’éroder ton esprit dans l’artificialité de l’existence, concentres toi plutôt sur les murmures ineffables de ce subconscient t’invitant à apprécier la vraie forme de ton essence. À Paracelse, il faudra peu de temps avant que tu ne cèdes à ces rêveries qui t’élèvent avec bienveillance tandis que tes expériences ne furent toujours que te rabaisser dans un monde qui te refusa une place.
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