Erobern incarne le cœur du Saint-Empire ayant réuni sous son joug les puissances de Llygredd, Khidesh, Lontemar et Laconia. Personne n’ignore le prix à payer en sang pour rendre possible cette union. La guerre est profondément ancrée dans les mœurs des habitants qui ont fait naître les plus grands guerriers du continent. Une force militaire justifiant leur hégémonie au sein de Rathna. Les conquêtes innombrables alimentèrent à n’en point douter la haine des vaincus.
Quant à valider ou non la légitimité de ces assauts sanglants, la guerre tapisse ces toiles complexes composées des couleurs intenses de chaque combattant se raccrochant à sa vie et à sa volonté. L’entremêlement de ces lueurs flamboyantes fait perdre aux notions de bien et de mal leur substance, si bien qu’Erobern mûrit son regard conquérant pour unir ces feux particuliers en un immense brasier duquel la guerre disparaîtrait de ce monde.
Une contradiction que les victimes peineront à accepter aux premières étincelles de violence. Or, à présent que le temps a vu se succéder suffisamment de générations, l’évidence de la paix s’impose désormais à l’esprit pour ne plus révéler à présent que la lumière aveuglante d’une aspiration universelle. À présent que les monstres saignent les terres du continent, un ennemi commun dilue les différences pour rendre à la guerre ses lettres de noblesse.
Erobern accueille dans son ventre le plus grand culte de la Lumière. Forte de l’héritage des morts et de la foi des vivants, pour la première fois de son histoire, l’humanité s’est trouvé un combat juste aux yeux de tous les partis. Si l’on pourrait à juste raison trouver une faiblesse morale pour le coût en vies qu’entraîna l’édification de cette cathédrale impériale, nul ne saurait en contester aujourd’hui sa nécessité.
En son sein se tient dorénavant le siège de la Guilde qui s’affranchit des divisions pour protéger l’ensemble du continent du chaos entraîné par de créatures qui appartiennent à un autre monde. Bien sûr, comme à l’habitude du genre humain, plusieurs voies se séparent sur le mode de résolution de ces nouvelles épreuves. Toutefois, tous se réunissent en un même objectif au point de donner au mot d’universalisme tout son poids.
Peu importe ta race. Peu importe ta foi. Peu importe ton origine. Peu importe ton passé. Peu importe ton titre. Si dans ton cœur, tu es sensible à l’universalisme de la Lumière portée par Erobern, alors tu trouveras dans la Guilde une place sur le chemin de cette grande Destinée qui entend réunir les différences autour d’une guerre juste.
Quant à valider ou non la légitimité de ces assauts sanglants, la guerre tapisse ces toiles complexes composées des couleurs intenses de chaque combattant se raccrochant à sa vie et à sa volonté. L’entremêlement de ces lueurs flamboyantes fait perdre aux notions de bien et de mal leur substance, si bien qu’Erobern mûrit son regard conquérant pour unir ces feux particuliers en un immense brasier duquel la guerre disparaîtrait de ce monde.
Une contradiction que les victimes peineront à accepter aux premières étincelles de violence. Or, à présent que le temps a vu se succéder suffisamment de générations, l’évidence de la paix s’impose désormais à l’esprit pour ne plus révéler à présent que la lumière aveuglante d’une aspiration universelle. À présent que les monstres saignent les terres du continent, un ennemi commun dilue les différences pour rendre à la guerre ses lettres de noblesse.
Erobern accueille dans son ventre le plus grand culte de la Lumière. Forte de l’héritage des morts et de la foi des vivants, pour la première fois de son histoire, l’humanité s’est trouvé un combat juste aux yeux de tous les partis. Si l’on pourrait à juste raison trouver une faiblesse morale pour le coût en vies qu’entraîna l’édification de cette cathédrale impériale, nul ne saurait en contester aujourd’hui sa nécessité.
En son sein se tient dorénavant le siège de la Guilde qui s’affranchit des divisions pour protéger l’ensemble du continent du chaos entraîné par de créatures qui appartiennent à un autre monde. Bien sûr, comme à l’habitude du genre humain, plusieurs voies se séparent sur le mode de résolution de ces nouvelles épreuves. Toutefois, tous se réunissent en un même objectif au point de donner au mot d’universalisme tout son poids.
Peu importe ta race. Peu importe ta foi. Peu importe ton origine. Peu importe ton passé. Peu importe ton titre. Si dans ton cœur, tu es sensible à l’universalisme de la Lumière portée par Erobern, alors tu trouveras dans la Guilde une place sur le chemin de cette grande Destinée qui entend réunir les différences autour d’une guerre juste.
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