Dans un environnement désertique où la vie ne peut trouver son chemin autrement que par la sobriété du nomadisme, l’histoire érigea de terre une cité grandiose grâce aux généreuses donations de l’ancien Empire du Karma. Ainsi naquit le Dar-es-Balat, forte de la réunion des clans les plus redoutables du désert profond. Cette cité-État étonne par l’hétérogénéité de sa culture, célébrant le communautarisme en invitant dans son ventre les étrangers de tout horizon. Si certains habitants se sont accommodés de la sédentarité, séduits par cette place faisant mentir la pauvreté de l’aridité avec ses richesses étonnantes, une plus sombre réalité fait tenir les fondations du Dar-es-Balat.
En effet, pour perdurer, cette ville-forteresse doit remplir la plus rude des fonctions au sein de Lathna : servir de rempart contre la faille la plus dangereuse du continent. Le Gouffre interdit plus au sud malmène régulièrement les défenses de la cité d’invasions de monstres, de quoi jeter une certaine ironie envers un peuple qui s’illustra par ses innombrables raids au nord afin de surmonter la rareté de ses ressources.
À cette fin, de nombreux mercenaires, criminels et guerriers s’invitent au front pour des milliers de raisons différentes. Payer l’impôt du sang revient à succomber aux promesses réalisables qu’en ce lieu : laver son honneur, obtenir la grâce, s’enrichir de trésors, réaliser des prouesses et bien d’autres.
Toutes les puissances de Lathna contribuent à garder debout les murailles de Dar-es-Balat, bien que le Saint-Empire soit aujourd’hui le plus investi d’entre eux et Neshraun le dernier. Laconia en particulier fit construire un gigantesque disque flottant au-dessus du centre de la cité. Ce disque de métal que certains habitants vénèrent comme une relique des déesses passe de l’or à l’ocre lorsque le Gouffre irradie d’un sursaut d’énergie précédant chaque invasion. Cet artefact magique annonciateur de mauvais présages permet aux défenseurs d’organiser les rituels et sacrifices pour préparer les guerriers à un combat où nombreux périront dans des conditions atroces.
La vie au Dar-es-Balat est ainsi faite : précaire et intense tout à la fois. La plupart des héros que l’on connaît actuellement commencèrent par s’illustrer sur ces terres faisant cohabiter le paradis et l’enfer. Tu rêves de vivre à la hauteur des Grands de ce monde ? Commence par survivre dans le cauchemar de Dar-es-Balat, après seulement, ton nom méritera d’être immortalisé dans les livres d’histoire.
En effet, pour perdurer, cette ville-forteresse doit remplir la plus rude des fonctions au sein de Lathna : servir de rempart contre la faille la plus dangereuse du continent. Le Gouffre interdit plus au sud malmène régulièrement les défenses de la cité d’invasions de monstres, de quoi jeter une certaine ironie envers un peuple qui s’illustra par ses innombrables raids au nord afin de surmonter la rareté de ses ressources.
À cette fin, de nombreux mercenaires, criminels et guerriers s’invitent au front pour des milliers de raisons différentes. Payer l’impôt du sang revient à succomber aux promesses réalisables qu’en ce lieu : laver son honneur, obtenir la grâce, s’enrichir de trésors, réaliser des prouesses et bien d’autres.
Toutes les puissances de Lathna contribuent à garder debout les murailles de Dar-es-Balat, bien que le Saint-Empire soit aujourd’hui le plus investi d’entre eux et Neshraun le dernier. Laconia en particulier fit construire un gigantesque disque flottant au-dessus du centre de la cité. Ce disque de métal que certains habitants vénèrent comme une relique des déesses passe de l’or à l’ocre lorsque le Gouffre irradie d’un sursaut d’énergie précédant chaque invasion. Cet artefact magique annonciateur de mauvais présages permet aux défenseurs d’organiser les rituels et sacrifices pour préparer les guerriers à un combat où nombreux périront dans des conditions atroces.
La vie au Dar-es-Balat est ainsi faite : précaire et intense tout à la fois. La plupart des héros que l’on connaît actuellement commencèrent par s’illustrer sur ces terres faisant cohabiter le paradis et l’enfer. Tu rêves de vivre à la hauteur des Grands de ce monde ? Commence par survivre dans le cauchemar de Dar-es-Balat, après seulement, ton nom méritera d’être immortalisé dans les livres d’histoire.
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