Aux inconscients qui s’aventureraient à prendre les nains de haut, ces derniers leur réservent le sort de les attaquer aux genoux puis d’écraser leur grosse tête entre le marteau et l’enclume. La susceptibilité légendaire du royaume Ker-Vashterion tient en respect le reste du continent. Nés dans des montagnes regorgeant de richesses, les nains eurent toutes les raisons de s’élever comme une puissance de premier plan. Cependant, la violence de leur tempérament justifia que leurs rivaux investirent des trésors de stratégies pour les freiner dans leurs ambitions.
Or, rien ne saurait canaliser indéfiniment une flamme si vive, plaçant la méritocratie au centre de tout. Les titres se font et se défont au rythme des découvertes minières. Une concurrence sans merci fait se disputer les différentes familles naines versant sueur, larme et sang pour provoquer la chance plutôt que d’attendre qu’elle leur tombe tout cuit dans le bec. Les nouveaux gisements fructueux reviennent aux seigneurs désireux d’amasser les métaux précieux pour alourdir leur poids dans la société naine.
Aucun ne saurait contester les dangers des galeries qui cachent souvent des monstres en appelant à la puissance guerrière des confréries de mineurs. À chaque nouvelle génération s’impose la « pesée » de ces seigneurs pour désigner le prochain souverain de Ker-Vashterion. Un mode d’élection qui exclut le mensonge et donne au nouveau roi la responsabilité de coordonner le commerce entre les différents chefs et d’ainsi faire reconnaître aux yeux du monde la puissance naine.
Sans surprise, la doctrine du feu trouve dans ces contrées une place prédominante, la célébration de la fierté naine trouvant une importance telle que les économies minables ne sauraient susciter autre chose que la honte. Au cœur des montagnes, il importe de faire flamber les ressources et les transformer en trésors à même d’enterrer la suffisance qu’on leur adressa si longtemps au cours de l’histoire. À ce titre, les artefacts, pierres précieuses et autres richesses apparaissent désormais comme une évidence parmi les cercles marchands.
S’il existe encore de nombreux adversaires politiques de Ker-Vashterion, plus personne ne saurait à ce jour contester l’importance de ce royaume dans l’économie du continent. Au point que parmi les nains, des voix se font peu à peu entendre pour tempérer les folies de Grandeur de leurs dirigeants. Ce qui trouve son expression dans le développement de la doctrine de la Terre qui en appelle à dévier le regard du royaume de l’extérieur vers l’intérieur pour garantir aux générations à venir un avenir.
Or, rien ne saurait canaliser indéfiniment une flamme si vive, plaçant la méritocratie au centre de tout. Les titres se font et se défont au rythme des découvertes minières. Une concurrence sans merci fait se disputer les différentes familles naines versant sueur, larme et sang pour provoquer la chance plutôt que d’attendre qu’elle leur tombe tout cuit dans le bec. Les nouveaux gisements fructueux reviennent aux seigneurs désireux d’amasser les métaux précieux pour alourdir leur poids dans la société naine.
Aucun ne saurait contester les dangers des galeries qui cachent souvent des monstres en appelant à la puissance guerrière des confréries de mineurs. À chaque nouvelle génération s’impose la « pesée » de ces seigneurs pour désigner le prochain souverain de Ker-Vashterion. Un mode d’élection qui exclut le mensonge et donne au nouveau roi la responsabilité de coordonner le commerce entre les différents chefs et d’ainsi faire reconnaître aux yeux du monde la puissance naine.
Sans surprise, la doctrine du feu trouve dans ces contrées une place prédominante, la célébration de la fierté naine trouvant une importance telle que les économies minables ne sauraient susciter autre chose que la honte. Au cœur des montagnes, il importe de faire flamber les ressources et les transformer en trésors à même d’enterrer la suffisance qu’on leur adressa si longtemps au cours de l’histoire. À ce titre, les artefacts, pierres précieuses et autres richesses apparaissent désormais comme une évidence parmi les cercles marchands.
S’il existe encore de nombreux adversaires politiques de Ker-Vashterion, plus personne ne saurait à ce jour contester l’importance de ce royaume dans l’économie du continent. Au point que parmi les nains, des voix se font peu à peu entendre pour tempérer les folies de Grandeur de leurs dirigeants. Ce qui trouve son expression dans le développement de la doctrine de la Terre qui en appelle à dévier le regard du royaume de l’extérieur vers l’intérieur pour garantir aux générations à venir un avenir.
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