Une vie humaine ne tient qu’à un bref soupir terminé de regrets et de remords. La mégapole de Khidesh défie l’éphémère de l’existence avec l’inspiration de l’éternité. Parangons de l’entreprenariat, ses citoyens s’inscrivent dans l’héritage stimulant de la connaissance et s’évertuent à immortaliser leur nom au travers des avancées scientifiques. Plutôt que de s’éteindre dans l’indifférence, il importe d’éblouir le monde d’une lumière d’audace transformant la fugacité en intensité.
Si l’éclair d’individualité éclaire les pavés de l’innovation, des rouages complexes redirigent cette énergie inventive en une intelligence d’intérêts communs.
Les universités enseignent l’état de l’art pour inscrire ses jeunes étudiants dans les problématiques de leur temps. Les incubateurs cultivent les idées et les confrontent à la réalité. Les mécènes évaluent les projets prometteurs avant d’investir leurs richesses pour de grandes réalisations. Les industries adaptent leurs machines au développement des nouvelles technologies. Les acteurs de l’économie s’assemblent en écosystèmes à même d’accompagner ces efforts susceptibles de faire mûrir le visage du conglomérat. Les politiques réorientent les réglementations pour favoriser l’émulation de ses ouvriers sans négliger la sagesse de leurs prédécesseurs.
Autant dire qu’aux yeux de Rathna, Khidesh incarne un phare que l’honnêteté intellectuelle ne saurait négliger. L’art, la culture et l’éducation en font une puissance douce proche de rivaliser avec le royaume d’Althela. Pour se faire, il fallut s’intéresser à leurs savoirs, de même pour Matergabia qui trouva une grande place dans l’inspiration de ces progrès. Positivistes, le collège de Khidesh ouvre les portes de la mégalopole aux savants, artistes et philosophes du monde entier.
Première puissance importatrice du continent, Khidesh transforme ses matières premières en des trésors d’ingénierie faisant la convoitise de tous. Le culte de la Lumière et du Vent s’accordent dans une harmonie instillant dans les esprits la pensée d’une utopie. Or, qui saurait dénombrer tous les incidents et échecs qui marquèrent l’histoire de Khidesh ? Les fins observateurs y verront l’enfer de la vanité, l’élan de ces terres pouvant bien leur faire dépasser des limites où il ne serait alors plus possible de faire marche arrière.
Seulement, que saurait représenter la finitude des moyens quand le temps chronomètre chaque seconde de ta vie ? La balance de l’horloge donne le poids du temps perdu. On l’inventa pour éclipser son murmure désagréable du bruit de l’initiative. Tout, pour t’éviter de terminer ton existence de regrets et de remords. Si tu le comprends, alors tu suivras le mouvement des rouages, peu importe ce que coûtera l’accomplissement de cette Grande Machine faisant mentir ta mortalité.
Si l’éclair d’individualité éclaire les pavés de l’innovation, des rouages complexes redirigent cette énergie inventive en une intelligence d’intérêts communs.
Les universités enseignent l’état de l’art pour inscrire ses jeunes étudiants dans les problématiques de leur temps. Les incubateurs cultivent les idées et les confrontent à la réalité. Les mécènes évaluent les projets prometteurs avant d’investir leurs richesses pour de grandes réalisations. Les industries adaptent leurs machines au développement des nouvelles technologies. Les acteurs de l’économie s’assemblent en écosystèmes à même d’accompagner ces efforts susceptibles de faire mûrir le visage du conglomérat. Les politiques réorientent les réglementations pour favoriser l’émulation de ses ouvriers sans négliger la sagesse de leurs prédécesseurs.
Autant dire qu’aux yeux de Rathna, Khidesh incarne un phare que l’honnêteté intellectuelle ne saurait négliger. L’art, la culture et l’éducation en font une puissance douce proche de rivaliser avec le royaume d’Althela. Pour se faire, il fallut s’intéresser à leurs savoirs, de même pour Matergabia qui trouva une grande place dans l’inspiration de ces progrès. Positivistes, le collège de Khidesh ouvre les portes de la mégalopole aux savants, artistes et philosophes du monde entier.
Première puissance importatrice du continent, Khidesh transforme ses matières premières en des trésors d’ingénierie faisant la convoitise de tous. Le culte de la Lumière et du Vent s’accordent dans une harmonie instillant dans les esprits la pensée d’une utopie. Or, qui saurait dénombrer tous les incidents et échecs qui marquèrent l’histoire de Khidesh ? Les fins observateurs y verront l’enfer de la vanité, l’élan de ces terres pouvant bien leur faire dépasser des limites où il ne serait alors plus possible de faire marche arrière.
Seulement, que saurait représenter la finitude des moyens quand le temps chronomètre chaque seconde de ta vie ? La balance de l’horloge donne le poids du temps perdu. On l’inventa pour éclipser son murmure désagréable du bruit de l’initiative. Tout, pour t’éviter de terminer ton existence de regrets et de remords. Si tu le comprends, alors tu suivras le mouvement des rouages, peu importe ce que coûtera l’accomplissement de cette Grande Machine faisant mentir ta mortalité.
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